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Impasse des Pas Perdus
21 avril 2013

06h41 - Jean-Philippe BLONDEL

 

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06h14 - Jean-Philippe BLONDEL

Livre : 06h41 de Jean-Phlippe BLONDEL
Parution
: 3 janvier 2012 (anniversaire de mon neveu !)
Edition : Buchet Chastel, Paris, France.
Genre : romans et nouvelles - français
ISBN : 978-2-283-026052

Prix : 15 euros
Format : 11,5 x 19 cm
232 pages lus.

Liens 
Art
icle "Page des libraires"

Couverture 
Ces lignes parallèles et courbes sont ...   les parallèles ne se rencontrent pas, mais...

 culture,citation,littérature,livre,roman,etats-unisculture,citation,littérature,livre,roman,etats-unis

Je n'ai pas pris le train pour vous le raconter, je le regrette !

Elle, c'est Cécile Duffaut qui prend place au fauteuil 58 côté fenêtre. Elle s'installe avec soulagement dans ce train après avoir passé un week-end pénible chez ses parents. Son mari et sa fille n'ont pas voulu l'accompagner.

La place à côté d'elle est libre.

Lui, c'est Philippe Leduc qui grimpe dans ce même compartiment et au même moment où il s'installe sur le fauteuil N° 57, découvre Cécile.

C'est ainsi qu'ils se retrouvent côte à côte. Ils restent cois.

Le train les réunit le temps d'un trajet où va défiler à la vitesse d'un train, toute une vie avec leur rencontre vingt-sept ans auparavant, leur chemin respectif et le silence de cette séparation.

1 heure 1/2 pour se remettre sur les rails d'une aventure avortée. Une parenthèse inattendue qui suspend le temps pour réapprendre à se connaître, se confronter au passé et feindre l'indifférence... 

 

1h1/2 de cheminement qui fait écho par monologue. Le double, pour sa lecture.

Il faut que je vous dise que je ne connaissais pas Jean-Philippe Blondel avant de le découvrir comme vrai coup de coeur chez plusieurs blogueuses.

Un livre sur le pardon, les rêves d'adolescence et le bilan de son parcours quand on saute vers la cinquantaine dans un destin tracé comme les rails d'une voie ferrée ! J'ai beaucoup aimé la description des ressentiments, l'introspection sur les changements d'aptitude face à une vieille connaissance, l'ironie de Cécile sur les désillusions. Elle, elle sort de sa torpeur pour rentrer dans cette situation ambarrassante. Lui, trouve les circonstances amusantes.

L'écriture aligne un chapitre-elle et un chapitre-lui où Jean-Philippe Blondel, l'auteur dépèce le trajectoire de ces personnages au fur et à mesure que les souvenirs s'imposent.  Des vies normées faites de rencontres, de regrets, de choses imperceptibles qui nous construisent et font de ce quotidien, un voyage et un roman doux-amer.

Je suis un peu mitigée pour annoncer que dans ce livre "06h41", j'ai aimé l'écriture aux phrases courtes avec des morceaux choisis. Mais je suis restée à quai en quelque sorte car j'avais envie que l'histoire avance plus vite, même si je ne reste pas indifférente aux vécus de l'auteur car j'ai attaqué le monde d'adulte avec les mêmes aléas. J'ai donc décidé de mieux le connaître avec son roman éponyme qu'est "Et rester vivant" qui sera la rencontre avec l'auteur car Jean-Philippe Blondel s'est inspiré de son histoire personnelle pour l'écrire.

 

Auteur, décrivez-vous ?

Jean_Philippe_BLONDEL
Image de John Foley

Je m'appelle Jean-Philippe Blondel, depuis 1990, je suis professeur d'anglais au Lycée Edouard Herriot de Sainte-Savine, près de Troyes. En parallèle de l'enseignement, je mène une carrière d'écrivain. J'écris depuis l'âge de 19 ans.

Je suis né à Troyes, dans l'Aube en Champagne, (octobre 1964) et suis de nationalité française.

A 17 ans, suite à un accident de la route, je perds ma mère, ainsi que mon frère. Je commençais à le réaliser quand je fus confronté à la perte de mon père, quatre ans plus tard, dans un autre accident de la route. C'est ce faux départ qui m'amène à parcourir la Californie avec mes deux meilleurs amis, Samuel et. Une méthode pour se reconstruire.

Je suis marié et père de deux filles.

Mes préférences en lecture sont Echenoz, Modiano aussi bien qu'Auster ou Proust.

Depuis, je me suis exercé à rendre ma vie musique. J'écoute Etienne Daho et d'autres chanteurs dont le disque de Lloyd Cole. Chaque roman est écrit sur une note musicale. Ainsi ce roman fut écrit avec le groupe australien "Jet" sur la chanson "Look what you've done"

J'écris tant pour le public adultes que pour les adolescents. Certains de mes romans sont de l'ordre autobiographique et d'autres comme celui-ci font partie de la littérature imaginaire.


Ces oeuvres :

. Accès direct à la plage - 2003 (Prix Marie Claire Blais en 2005) - Editeur : Delphine Montalant - Musique choisi : Etienne Daho
. 1979 - 2004 - Editeur : Delphine Montalant - Musique choisi : Smashing Pumpkins
. Juke-box - 2004 - Editeur : Robert Laffont
. Un miniscule inventaire - 2005 - Editeur : Robert Laffont
. Passage de gué - 2006 - Editeur : Robert Laffont
. Rencontres au bout du monde - 2007 - Editeur : Le bout du monde - Recueil de nouvelles
. This is not a love song - 2007 - Editeur : Robert Laffont (Prix Charles Exrayat en 2008)
. Un endroit pour vivre - 2007 - Editeur : Actes Sud Junior
. A contretemps - 2009 - Editeur : Robert Laffont
. Au rebond - 2009 - Editeur : Actes Sud Junior
. Le Baby-sitter - 2010 - Edition Buchet Chastel
. Blog - 2010 - Actes Sud Junior
. Qui vive ? - 2010
. G229 - 2011 - Edition Buchet Chastel -  (Prix du Roman, version Femina - Virgin Megastore 2011)
                     "le titre du roman est le numéro de la salle où il enseigne".
. Replay - 2011 - Editeur : Actes Sud Junior
. Brise glace - 2011 - Editeur : Actes Sud Junior
. Et rester vivant - 2011 (c'est l'histoire de sa vie qui raconte le drame familial)
. 06h14 - 2012 - Edition Buchet Chastel (roman qui fait partie des quatre finalistes du Prix Relay des voyageurs)

Inspiration sur cette histoire ?

« Le roman est né à la poste. Il y a quinze ans à peu près. C'est marrant de voir le temps que mettent les idées avant de fleurir. J'étais à la poste à Troyes et je faisais la queue derrière un mec qui avait besoin de donner son nom, je ne sais plus pourquoi. De l'autre côté du guichet, la fille lui demande son nom. Il lui donne ; c'était un nom polonais hyper compliqué avec des « z », des « c », des « k ». Et la fille l'écrit sans faire une faute d'orthographe ! Le mec lui dit « chapeau car d'habitude les gens se plantent tout le temps ». Elle le regarde et lui dit : « Vous ne vous souvenez vraiment pas de moi ? » Il lui dit « non, je devrais ? » Elle lui répond « oui, on est sorti ensemble il y a 25 ans ! » (rires). C'était il y a quinze ans. Un tout petit truc. Mais je me suis dit que ça, ça ressortirait. » ndlr

 

Diplômes 

1982 - Baccalauréat A2 mention TB – Lycée Chrestien de Troyes 1987 Maître d’anglais
1988 - Licence Lettres modernes
1989 - CAPES anglais
1998 - Agrégation anglais 

A propos de Jean-Philippe Blondel sur facebook

 

Extraits

Pour "Elle"

« J'aime bien les trains. Les heures passées à ne rien faire de particulier. On prépare un sac pour le trajet – pareil que les enfants quand ils sont encore petits. On y fourre deux livres de poche, des chewing-gums, une bouteille d'eau – pour un peu on y mettrait aussi sa couverture fétiche. Tout pour que le temps passe agréablement. En arrivant à la gare, on traîne même du côté des magazines, et on en achète un, de préférence sur les riches et célèbres. C'est comme si on allait à la plage – et, comme à la plage, on n'ouvre ni les romans, ni le magazine, on ne mâche pas de sucreries et on oublie même de s'hydrater. On est hypnotisé par le paysage qui défile ou par le rythme des vagues. »

« Chaque fois que je reviens les voir, mes parents, j'ai l'impression de redescendre l'échelle temporelle et sociale que je grimpe avec circonspection mais ténacité. Dès que j'arrive à la gare, je retrouve mes oripeaux d'enfance - la voix qui tremblote, le geste mal assuré  et l'agacement. Cet agacement profond qui me fait me demander pourquoi, mais pourquoi grands dieux est-ce que m'inflige cette visite bimensuelle ? »

Pour "Lui"

« Depuis longtemps. C'est ce qui me trouble. Tu rencontres quelqu'un, tu l'accompagnes pendant quelque temps, puis il ou elle disparaît de ton quotidien, tu t'en remets, tu oublies. Un jour, dans un train, tu te dis : « Si ça se trouve, il ou elle est mort. » Je suis content de voyager en silence avec Cécile Duffaut parce que je sais qu'elle n'est pas morte. »

 

« Le verbe "avoir". Il est gênant, celui-là. Ce n'est pas un verbe qui m'est familier. Plus le temps passe, et plus je perds. Plus je perds et plus je suis libre. Plus je suis libre et moins j'ai envie de l'être. Qu'est-ce qui je vais faire de toute cette liberté ? »

Quatrième de couverture

Le train de 06h41, départ Troyes, arrivée Paris. Bondé, comme tous les lundis matins. Cécile Duffaut, 47 ans, revient d’un week-end épuisant chez ses parents. Elle a hâte de retrouver son mari, sa fille et sa situation de chef-d’entreprise. La place à côté d’elle est libre. S’y installe, après une légère hésitation, Philippe Leduc. Cécile et lui ont été amants vingt-sept ans auparavant, pendant quelques mois. Cela s’est très mal passé. A leur insu, cette histoire avortée et désagréable a profondément modifié leurs chemins respectifs. Tandis que le train roule vers Paris et que le silence s’installe, les images remontent. Ils ont une heure et demie pour décider de ce qui les attend.

 

"Laisser vos coups de coeur et vos coups de gueule en commentaire", merci.

 

Liste alphabétique  "LIRE & RELIURE" à consulter      par auteur  ICI

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Maria Ernestam
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Les chaussures italiennes de Henning Mankell Balzac et la Petite Tailleuse chinoise
Dai Sijie
L'ombre du vent 
Carlos Ruiz Zafon
La vie rêvée des plantes
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Traduction  : Français,  Allemand,   AnglaisArabe,  Hollandais 
Parution : 21 avril 2013 
Mise à jour  :  22 avril 2013
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13 avril 2013

Le parfum et le vin

 

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Hier, j'étais à la conférence sur le vin, donnée par Jean Natoli à Castelnau-le-lez et je me suis laissée aller à réfléchir si le parfum partagait le même registre émotionnel que le vin ?

Je voyageais dans le monde des odeurs et je m'aprêtais à y réfléchir quand Fédérica me demanda le nom de mon parfum ? "Eau de Narcisso Rodriguez for Her" que je gardais discrètement sur ma peau. 

Je m'arrêtais à ce premier mot : "Eau" et la confusion fut forte devant le nom : vin. Le terme "minéral" était le mariage parfait entre ces deux matières. Les nuances olfatives de chacun m'amenait à penser aux senteurs de fruits, aux essences de pétales pressées, à l'éternel Iris et son rhizome qui poudre au même titre que les épices comme l'ambre, la cannelle et le musc, le parfum.

Je pris ce verre présenté, pour mesurer sa courbe galbé, sa teinte charnue et son côté sensoriel pour sa rondeur et sa robe grenat. Tenu par son pied, le verre faisait rouler le liquide qui distribuait en séquence rythmée,  ses arômes épicées et de terre charriée qui évoque en moi la senteur du cuir poivrée. Je m'énivrais de ses effluves, en mettant de côté, pour un instant le côté gustatif. 

Le vin et sa complexité m'amenait à penser que l'oenologue était au même titre que le nez chez un parfumeur, en quête de nouvelles alchimies pour élaborer des fragances inédites dont les formules ne sont pas divulguées.

"On ne déguste pas dans le palais des autres" est le reflet philosophique de notre besoin socio-culturel. Le vin est aussi musical, au même titre que le parfum, ces notes se déroulent avec le temps. Il a des "notes" de tête, de coeur et de fond qui constituent la partition de sa création.

Les comparaisons se mélangeaient tout au long de la conférence. Le nom et l'étiquette, la couleur et la texture, le prix et l'emballage et la symbolique qu'est la France à l'étranger pour ses parfums et son vin.

Bien sûr, il y avait de l'eau mise à disposition pour déguster les vins.

Mais est-ce un mariage que l'eau et le vin ? Je fus confuse de découvrir le nom de mon parfum : eau. N'est'il pas plus naturel que l'eau, est-ce la quintescence d'afficher ce nom "eau" pour un parfum dont les effluves font penser à la rosée sur les pétales. J'abordais ce sujet dans la contemplation car chaque mot décliné m'amenait son lot de souvenirs et de bonheur.

 

Je l'avais donc choisi, comme le vin, pour son étiquette et son nom ? Quoi de plus féminin ! Et à chaque questionnement, je pouvais donner une réponse au parfum comme au vin. Cette part de rêve, de luxe et de séduction quand vous vous aspergez avant d'aller à la rencontre du vin.

Dans l'univers du parfum, une des différences est le prix de ce nectar appelé vin.  Par la spéculation, il peut atteindre des sommes jamais vu au niveau des grandes marques de parfum et devenir ambroisie.

 

Ouvrir une bouteille, c'est aussi un message que vous envoyez à vos amis. Trouver la bouteille qui correspond au moment et à l'importance que vous y donnez, se pèse. Mettre une bouteille en évidence sur la table donne le ton à la soirée ! Le vin c'est une affaire de convivialité.

Que dire de ces deux univers réunis. Ce fut une soirée réussie, le vin ne fut que plaisir, l'ambiance enrichie par des connaissances retrouvées et une conférence appuyée sur des grands noms et des grands vins !

Cette conférence a permis de verbaliser le vocabulaire utilisé par les professionnels, de connaître la cartographie des vins et les différents cépages autorisés. Présentation de la diversité de l'offre avec des visuels sur le marché du vin : pyramide des prix en comparaison avec celle du Languedoc Roussillon qui donne une atrophie vers le sommet en comparaison de l'offre française, pyramide des nouvelles appellations en comparaison avec les anciennes au regard de la législation européenne et française.  J'ai beaucoup apprécié son regard sur le respect de l'environnement, sa présentation des données socio-démographiques, l'analyse sur les comportements d'achat en fonction des pays, du niveau de vie et des concepts de mode.

Je remercie particulièrement Jean Natoli, agronome, oenologue conseil et vigneron, pour son discours ambiant et pour nous avoir communiqué son savoir-faire, sa sensibilité et sa passion.  Il nous a invité à déguster, ressentir, voir et savoir les vins de sa cave personnelle, sous la directon d'un sommelier qui dirigea la dégustation afin de reconnaître les odeurs, d'améliorer notre perçu en bouche lié à la minéralité.

Cette soirée agrémentée d'amateurs éclairés, de vin d'un choix particulier dont j'ai retenu une étiquette "Gens et Pierre", intéressante pour sa double image dont je retiendrai le sens de celle qui m'accroche "caillou" !

 

 

Alors amateur de vin, quel parfum portez-vous ? et est-ce que cela dérange vos narines ?
 

Lexique  

Intrants : produits de levures ou tanins
AOP : dénomination d'un produit dont la production, la transformation et l'élaboration doivent avoir lieu dans
         une aire géographique déterminée avec un savoir-faire reconnu et constaté.
IGP : signe officiel européen d'origine et de qualité qui permet de défendre les noms géographiques et offre une possibilité
        de déterminer l'origine d'un produit quand il tire une partie de sa spécificité de cette origine.
VSIG : Vin Sans Indication Géographique
AOC
Minarilité : La minéralité évoque un "goût", un "arôme", la "bouche", et "l'acidité. Elle fait partie de la 
famille des aromatiques
                 qui regroupe la craie, le fer, le pétrole, le naphte, l'iode, la terre et la pierre à fusil.
Arôme : il décrit soit un cépage, soit une technique de vinification, soit encore un stade d'évolution. 
Notes parfumées : violette, fleur de sureau, bourgeon de cassis, myrrhe, vanille, framboise, fruits secs, fleurs blanches...

Sécrétions animales utilisées dans le parfum : musc, ambre, civette, castoréum
Synthèse des molécules : courmarine (1868), vanilline (1874), musc (1891), ambrarone absolu (1926), ...

 

Encépagement du Languedoc Roussillon 

Rouge 
Le Cabernet Sauvignon : très coloré et tannique qui développe avec l'âge des bouquets complexes avec une dominante de sous-bois
Le Carignan : puissant, bien coloré, avec des tanins durs et parfois une amertume finale
Le Cinsault : note de poivre, délicatesse des tanins
Le Grenache : puissance alcoolique et grain de tanins particuliers
Le Mourvèdre : apport de fraîcheur et arôme balsamique
La Syrah : arôme cassis, graphite et encre

Blanc

Le Grenache, Le Picpoul, La Clairette, Muscat

Rosé

Le Cinsault

 

 

Conférence sur "Les idées reçues sur le vin"
à l'initiative de "Connaissance et partage"
Vendredi 12 avril à 19h30

Evènement ouvert au grand public
Palais des sports "Jacques Chaban Delmas" de Castelnau-le-Lez 
Salon VIP

Jean Natoli : Agronome, oenologue conseil, vigneron bio, 
                   Exploitant du Mas des Quernes à Saint-Jean-de-Fos
                   Exploitant du Mas Cascal dans le Vaucluse.

Philippe Combes : géologue

.......................

Crédit photo : natoliandco.com/trinquefougasse.com 

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Traduction  : Français,  Allemand,   AnglaisArabe,  Hollandais 
Parution : 13 avril 2013 
Mise à jour  :  13 avril 2013
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