Allons, passe passe passe Allons passe donc... Les Moulins de Bertrand
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Biographie
1760 - Né sous le nom de Tokitarō, dans le quartier de Warigesui, district d'Honjo qui est une zone rurale connue sous le nom de Kastushika, dans la banlieue d'Edo le 31 octobre 1760. Ce quartier est proche de la rivière Sumida qu'il affectionna. C'est l'ère Hōreki. Il se retrouve orphelin très jeune et est adopté vers l'âge de trois ou quatre ans par une famille d'artisan. Nakajima Ise devient son père.
Son père adoptif, Nakajima (中島) Ise, est un fabricant de miroirs pour la cour du Shogun, la famille princière de Tokugawa. Hokusai est alors appelé Tokitanō (太郎). Son père peint des dessins sur les miroirs.
Il prit le nom de Tétsoujiro. C'est le marchand japonais Haysahi Tadmasa de le rue de Provence au N° 65 qui le signifia.
1765 - Il dessine les formes des objets.
1765 - Invention des polychromes.
1767 - Révolution de cinq millions de paysans qui protestèrent contre les impôts attribués par les Seigneurs. Il est alors âgé de 7 ans.
1768 - Dès 8 ans, il apprend la xylographie qui est une technique primordiale pour les dessins japonais.
Il travaille comme commis dans une grande librairie d'Edo où il contemple les livres illustrés et il est mis à la porte.
1772 - Il fut le témoin du grand incendie de la ville d'Edo qui fit six mille morts.
1773-74 Il est en apprentissage dans un atelier de xylographie.
1775 - Alors âgé de quinze ans, il commence à graver des planches pour la fabrication d'estampes.
1776 - Sous le nom de Tetsuro, il grave lui-même les six dernières feuilles d'un roman humoristique de Sanchō.
1778 - Il porte le nom de Tetsuzo.
Il est alors âgé de 18 ans et étudie dans l'atelier de Katsukawa Shunsō (1726-1792) qui est le maître de l'Ukiyo-e, spécialisé dans les portraits de comédien. Ces gravures de cette époque se confonde avec celles de son maître. Ils peignent des acteurs et des scènes de théâtre dans le style de Tsutzumi Torin. Shunshō représente les femmes petites et potelées et lorsqu'il s'affirmera, Hokusai les fera aussi minces et élancées que celles d'Utamaro. Il ne veut plus interpréter le talent d'un autre, il invente ses créations, il compose avec sa note personnelle.
Les couleurs adoptées par Shunshō sont un nuancier de vert, de jaune, de rose et de gris, alors que les couleurs d'Hokusai sont éclatantes comme le vert, les bruns chauds, les rouges francs et le bleu foncé qui sont plus difficiles à accorder. Ces dessins sont délicats par leur filnesse et le détail.
Il produit des dessins sur des feuilles volantes appelées Kyōka Surimono.
Il réalisa ces premières estampes sous le nom de Katsukawa Shunrō, nom en rapport avec son maître Katsukawa Shunsō. Au départ, il fait une production commerciale et de bon marché, puis il épure son style pour s'affirmer et produit ses premiers surimono (petites estampes de luxe aux formats variés dont la gravure est sur une seule feuille, en édition privée ou sur commande).
Il se spécialise dans la gravure pour l'ilustration de livres littéraires dont la représentation de paysage.
Il fait des portraits de Geishas, d'acteurs de Kabuki (forme épique du théâtre japonais traditionnel) et de lutteurs de Sumo.
Il quitte l'atelier à la mort du maître car il est en désaccord avec son successeur Shunko.
1782 - La famine enlève deux cent mille personnes en cette période de croissance démographique. Hokusai vit une période de misère et malgré ceux-là continue à étudier les techniques des écoles de Kano Yusen, de Tsutsumi Torin et de Sumiyoshi Naiki.
Hokusai devait illustrer le roman "Rêve du Camphrier du Sud" de l'écrivain Bakin qui obtint un immense succès lors de son premier volume. Le romancier fut si jaloux de l'artiste qu'il refusa les dessins qu'Hokusai lui envoya par la suite pour les autres éditions. Hokusai fut si offusqué qu'il répondit à l'éditeur que c'était le texte qu'il fallait modifié. Les éditeurs avaient faits déjà graver les dessins en vue de les publier, le peintre décida de se passer du texte de Bakin et d'éditer ses dessins tels quels.
Quelques années plus tard, Hokusaï rencontra à Nagoya le peintre Bokoén avec qui il s'entretena sur les techniques du dessin. Il publia sous le titre "Hokusaï Mangwa, dès 1812, ces trois cents dessins dans un volume afin que cette technique permette que ces oeuvres soient ouvertes au grand public. La traduction du titre est Man "au gré de l'idée et Gwa pour dire (le dessin tel qu'il vient spontanément).
1786, il arrête de dessiner sous le nom de Shunrō.
1789, il quitte l'atelier de Katsukawa Shunsō suite à la jalousie d'un camarade d'atelier. Un jour, il avait peint une affiche pour un marchand d'estampes. Ce marchand fut si satisfait qu'il l'a fit encadré et l'accrocha sur sa devanture. Ce camarade d'atelier passa et la déchira car elle faisait ombrage à leur atelier. Ils se disputèrent et Hokusai résolue de prendre son identité sous le nom de "Mugura" qui signifie "buisson" pour expliquer au public que ce nouveau peintre n'appartient à aucun atelier.
A cette époque, il se marie deux fois. Mais, on ne sait pas pour quelle raison il dut les quitter : est-ce du à leur décès ou au divorce. De sa première femme, il eut un fils et deux filles.
Son fils "Tominosuke" prit la succession de la miroiterie Nakajima Isse mais ne fut pas très stable et causa des ennuis à son père.
Ses filles, Omiyo devint la femme de Yanagawa Shighenobu, le peintre. Elle mourut quelques temps après son divorce après avoir mis au monde son petit-fils qui fut source d'inquiétude pour son grand-père Hokusai. Son autre fille, Otetsu était douée d'un vrai talent de peintre, mais elle mourut jeune.
De sa seconde femme, il eut également un garçon et deux filles. Le fils "Akitiro" fut un petit fonctionnaire de la famille princière Tokugawa. Il était un peu poète et se fit adopté par "Kase Sakijiuro". C'est lui qui fit élevé le tombeau de Hokusai dont il prit le nom. Son petit-fils d'Akitiro s'appelait "Kase Tchojiro" et fut le camarade de classe de "Hayashi", grand collectionneur d'oeuvre d'art japonais.
Ses filles sont "Onao" qui mourut dans son enfance et "Oyei" qui se maria avec un peintre nommé "Tomei" mais divorça et revint vivre avec son père jusqu'à sa mort. Tomei son gendre illustra "Onna Chohoki", un livre d'éducation pour les femmes qui traite de la civilité.
Hokusai avait deux frères aînés et une soeur cadette, tous morts dans leur jeunesse.
1790 - Grâce à un artise japonais "Shiba Koban ou Gokan (?)" qui fréquente les néerlandais, seuls autorisés à amarrer à Nagasaki, il découvre la perspective qui influence à cette époque l'art occidental. Il maîtrise la perspective italienne par le biais du zograscope que les marchands néerlandais importèrent au Japon. Au XVII et XVIIIème siècle, la représentation des scènes au Japon avait une perspective parallèle qui reproduit l'espace et une perpective cavalière pour les personnes. De nos jours, la perspective parallèle est surtout utilisée pour les dessins d'architecture.
Il développe son propre sens du dessin, afin de se démarquer de son maître Shunsho.
Après cette étude, il crée une perspective dite "atmosphérique" ou "aérienne" pour marquer la profondeur des plans par les couleurs. Ainsi, avec le bleu de prusse, plus il est clair et se rapproche de la couleur du ciel, plus l'élément est éloigné et crée l'atmosphère. La majeure partie de ces oeuvres dont "La Grande Vague" sont inscrites dans cette logique.
Il étudie également le clair obscur.
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1794 - Il se fait appelé Sōri par son rapprochement à l'école Rinpa. Il illustre des calendriers dits "egoyomi". Ses dessins sont gracieux. Ce sont des oeuvres luxueuses et raffinées qui lui apportent la notoriété, une réputation d'excellence et de qualité.
Il illustre des livres et écrit des poèmes, tout en débutant sur la peinture sur soie.
Hokusai se fâche avec l'écrivain dont il illustre les romans et décide de publier des livres sans texte. Que des dessins dont le fameux Manga.
1795 - Il prend la direction de l'école Tawaray qui renommera par la suite Sori II. Il illustre sous le nom de Sōri, un recueil poétique "Kyōka Edo no Murasaki" qui l'amène au succès.
Les kyōkas sont des courts poèmes. Un seul est traduit en français et se nomme "Le Char des poèmes kyôka de la rivière Isuzu" illustré par Hokusai.
Portrait d'Hokusai fait par sa fille Oyei, signé Ohi
On y voit un front sillonné de rides profondes, des yeux en pattes d'oie,
Hokusai eut deux femmes qui décèdèrent très jeunes et cinq enfants. Sa plus jeune fille est Oyei et est devenue artiste comme lui.
Hormis sa fille Oyei Hokusai, il n'eut pas vraiment d'élèves mais des disciples Keisai Yeisen, Kiosai et Yosai qui prendront exemple sur son style. Son gendre Shigenobu fut le premier à l'imiter, mais c'est un vendeur de poisson nommé Hokkei qui copia au plus près son style à sa maturité.
Oyei, sa fille avait hérité du talent de son père mais ne fut reconnue par la société qu'après son divorce avec son mari. Elle fait les travaux pour son père et lorsqu'il est victime d'une attaque, son oeuvre fusionne avec celle de son père.
Il est presque impossible de différencier son oeuvre de celle de son père car, à l'époque, la femme est asservie à son mari ou à son père. Elle a vécu pour son art, elle était attiré par la nature et souvent partée avec son carnet de croquis.
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1798 - Hokusai devient son nom principal en référence à l’Etoile Polaire, auquel il rajoute le nom de sa ville natale.
Il quitte l'école Tawaraya et devient artiste indépendant, il est alors âgé de 38 ans.
Il offre son nom Sōri à l'un de ses élèves et prend le nom d'Hokusai.
C'est le début de la période Hokusai dont il affichera 3 phases stylistiques différentes. Dans sa première phase, le lien avec le monde de la littérature est plus important et la production de surimono et de livres illustrés est intense.
Dans la deuxième phase, c'est un travail psychologique et physionomique qui effectue sur ses personnages tant sur les êtres humains que les animaux qui prendront d'ailleurs une apparence humaine. Il s'oriente vers les illustrations de livres classique de la littérature chinoise.
Dans sa troisième et dernière phase, la peinture prend le relais. Il publie dans cette dernière période les deux premiers volumes de "Cent vues du Mont Fuji", considérées comme des Chefs d'oeuvre.
Sous ce nouveau patronyme, il crée ses premières séries : Sept manies des jeunes femmes sans élégance, Miroir des images de Hollande : huit vues de Edo, les cinquante-trois stations du Tôkaidô...
1800 - Le quartier des théâtres et le quartier des plaisirs (Yoshiwara) se développent pour satisfaire les riches marchands.
Il signe à cette période quelques tableaux par la formule : Gakyōjin.
1804 - Il peint dans la cour du temps d'Edo avec un balai et un seau d'encre de Chine. La fresque est un "daruma" géant de plus de 240 m2. Afin de permettre à l'assistance de l'admirer, elle fut hisser jusqu'aux toits.
1805 - C'est sous le nom de Katsukawa Hokusai qu'il signe ses dessins à l'encre de Chine noire et la panoplie de nuances de gris. Ce nom est choisi en hommage à l'étoile Polaire qu'il vénère particulièrement. Ses peintures sont sensuelles et ses estampes sont composées avec humour. Il produit des livres (yomihon) qui sont de longues fictions dont les intrigues épiques donnent le sens à sa capacité d'inventer, mais également de manier l'encre de Chine.
1807 - A nouveau, il peint une grande fresque à Nagoya.
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1810 - Epoque Taitō. Il est âgé de 59 ans. Il se consacre à faire des manuels de peinture "Elethon" qui attirent beaucoup d'amateurs.
Il publie son premier manuel : Le Dictionnaire de peinture insensé du fou qui comprend une collection de dessins assemblés à partir de caractères du syllabaire par Ono le Crétin.
Ce document est à l'usage des apprentis et par ce biais, il attire un large public et son art fait référence. Il va transmettre son style.
Il produit des estampes de vues aériennes des sites les plus célèbres.
1812 - Il parcourt le pays de l'ancienne capitale de Kyoto à Edo. A Nagoya, il rencontre Bokusen, un autre artiste qui le conseille sur la publication de sa Manga qui est l'ébauche alors d'une étude originale et marginale. Ces publications dureront jusqu'en 1834.
1814 - Publication de "Hokusai Manga" sous le pseudonyme "Taïto" qui n'est autre qu'un carnet de croquis qui aide les amateurs de dessin à s'exercer. 3900 dessins font partie de ce registre qui décrit les moeurs sous forme de légende. Ce manuel sera achevé qu'en 1878 avec la parution posthune du carnet 15. C'est une sorte de miscellanées graphiques
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1820 - Litsu, il se fera appelé à l'âge de 60 ans. Dans cette période, il se consacre aux estampes en couleur "nishiki-e" qui sont des métamorphoses du motif choisi.
1869 - Il eut une attaque d'apoplexie. Il se soigna à l'aide d'un remède japonais composé d'une pâtée de citron. Cette ordonnance lui permit de guérir. La composition de la potion fut donnée à son ami Tosaki sous la forme d'un énoncé enrichi de dessin de citrons, de couteau et de marmite.
1830 - Il commence la série de Cascades, des Ponts, des Oiseaux et des Fantômes.
1831 - Le Mont Fuji est dévoilé sous trente-six vues (Fugaku Sanjūrokkei). Ces estampes du monde flottant (Ukiye) fascineront les Occidentaux avec ce bleu de Prusse.
Il métamorphose les lieux choisis et représente donc des illustrations.
Il devient célèbre dans le Japon.
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1834 - Il prend le nom de Gakyō Rōjin Manji. Manji qui veut dire "le vieil homme fou de peinture".
Il marie sa fille "Omiyo" qu'il avait eu de sa première épouse. Son petit-fils fut un escroc et Hokusai épongea ses dettes qui le mirent dans la misère. Il s'engagea pour lui éviter d'aller en prison, mais il ne put tenir sa promesse et il dut quitter Edo en cachette pour s'installer une année à Suruga dans la péninsule de Miura où il complèta sa production des "Cent vues du Mont Fuji" (Fugaku Hyakkei). A cette époque, il signe Miruaya Haltiyemon. Il s'exila jusqu'en 1839.
Quand il revint à Edo, après quatre années d'exil à Suruga, il se fit appeler "Prêtre-Peintre" et aménagea dans les bois du temple Mei-O-In. Il illustre de croquis la misère dans laquelle il vit.
A 79 ans, il se consacre à la peinture et s'éloigne des estampes. C'est le monde animal, végétal ou les sujets religieux. Ces animaux de prédilection sont le tigre, les lions et les dragons.
1836 - La Capitale subit la grande famine, il revient après deux années s'installer à Edo. Il troque ses oeuvres contre la nourriture et arrête sa série "Cent Poètes et Poèmes" après avoir produit la vingt-septième planche.
1839 - Il s'établit à nouveau dans le quartier de Honjô, proche de la campagne qu'il affectionne. Un incendie dévaste son atelier et emporte ses travaux en cours. Il est alors concurrencé par un jeune artiste "Hiroshige Ando". Il produit de moins en moins. Il s'efforce de réaliser un dessin par jour, jusqu'à sa mort.
C'est une période de grande disette qui fait suite à trois années de mauvaises récoltes de riz.
1840 - A cette date, il indiquera sur l'ensemble de ses peintures, la date de réalisation.
1845 - Il fait son dernier voyage pour rencontrer un ami de province de Shinano. Il exécute quelques peintures dans un temple.
1849 - Il tomba malade dans sa maison d'Asakusa qui était la 93ème de ses habitations. Quand il sentit le moment de se retirer de ce monde, il écrivit à son ami Tagashi ses mots : "Le roi Yemma est bien vieux et s'apprête à se retirer des affaires. Il s'est fait construire, dans ce but, une jolie maison à la campagne et il me demande d'aller lui peindre un kakemono. Je suis donc obligé de partir, et quand je partirai, je prendrai mes dessins avec moi. J'irai louer un appartement au coin de la rue d'Enfer, où je serai heureux de vous recevoir. Quand vous aurez l'occasion de passer par là. Hokusai".
Décés à Edo, le 10 mai 1849 à l'âge de 89 ans. Cette date correspond au 18ème jour du quatrième mois de la deuxème année de Kayei. Sur son lit de mort, il aurait dit "encore cinq ans et je serais devenu un grand artise". Hokusai, son étoile est montée au firmament. Ses cendres sont ensevelies au temple Keikiôji, dans le quartier populaire d'Asakusa à Edo où il avait passé la majeure partie de sa vie. Sa petite fille Shiraï Tati lui a fait édifier un tombeau dans le jardin du temple, auprès de la tombe de Kawamura Itiroyemon. D'après sa petite fille, il serait le 3ème fils de ce dernier qui fut un artiste connu sous le nom de Bunsei. Sur sa pierre tombale, vous pouvez lire cette épitaphe "Oh ! La liberté, la belle liberté, quand on va aux champs d'été pour y laisser son corps périssable !".
Sa dernière peinture reprèsente un dragon gravissant le Mont Fuji.
1854 - Le Japon s'ouvre aux Etats-Unis d'Amérique, par l'intervention du commodore Perry qui mit fin à la période de pouvoir de la famille Tokugawa qui rendait cette société fermée au monde de l'extérieur, sauf pour le commerce avec la Chine et le Pays-Bas. Ils étaient sous l'ordre militaire (Bakufu).
1858 - Félix Bracquemond découvre Hokusai Manga et c'est le début de la vogue du japonisme.
Lors de l'exposition Universelle à Paris, la mode du Japonisme est lancée. C'est le départ d'Hokusaimania.
"A l'âge de quatre-vingt six ans, j'aurai fait encore plus de progrès et à quatre-vingt dix ans je pénétrerai le mystère des choses. A cent ans, j'aurai décidément atteint un niveau merveilleux, et à cent dix ans, chaque point, chaque ligne que je tracerai vibrera de vie. que ceux qui vivent assez longtemps voient si je tiens parole"
Katsuhika Hokusai
Memo
Site du grand palais : http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/hokusai
HOKUSAI- Galeries Nationales du Grand Palais
1er octobre – 20 novembre 2014
Puis 1er décembre 2014 – 18 janvier 2015. L’exposition se déroule en deux volets en raison de la fragilité de certaines oeuvres qui ne peuvent pas être exposées plus de 7 semaines.
Commissariat :
Seiji Nagata, grand spécialiste de l’artiste et directeur du musée Katsushika Hokusai de Tsuwano
Laure Dalon, adjointe du directeur scientifique de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais.
Livre associés
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18 Octobre 2014
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Traduction : Français, Allemand, Anglais, Arabe, Hollandais
Parution : Dimanche 2 novembre 2014
Mise à jour : 2 novembre 2014
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