Sur la route des Hêtres authentiques à Grimentz... SUISSE
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Accueil >> Carnet de voyage >> Suisse >> Grimentz >> 5 août 2006
Qui n'aimerait-il pas dénicher dans les vallées où se cachent les villages authentiques, ce site incomparable : Grimentz ? Un décor à ne pas manquer, d'une splendeur qui vous surprend lorsque vous y flânez. Il semble que le temps à passer moins vite qu'ailleurs !
Je vous ouvre une porte. Celle du décor. Cadre digne d'un tableau. Je vais le tisser de ma pensée.
La nature est préservée, vous êtes ébloui par le panorama face au glacier de Moiry qui côtoie les 4 000 mètres et les cimes aux alentours vous tendent les bras.
Quel panorama ! La beauté y demeure sauvage avec une route d'accès unique ouverte en 1863 qui vous amène à l'évasion dans une nature encore originelle, dans le "Val d'Anniviers", situé dans les alpes valaisiennes, dans la région de Sierre Anniviers, dans le canton du Valais, le tout en Suisse romande, partie occidentale.
Et, si vous passez vos vacances en Suisse où si vous faites que la traverser, n'hésitez pas à y rentrer. Grimentz (1572 mètre) au débouché du vallon du Moiry est marqué sur toutes les cartes touristiques. Village fleuri de géraniums rouges en été, par sa blancheur en hiver, par son vert fluorescent au printemps et par les teintes rousses sur les alpages en automne, reflets des forêts de mélèzes dont certains sont âgés de plus de 1000 ans.
Prenez le temps de découvrir ce village aux hautes maisons en bois, aux toits de bardeaux, imbriquées les unes dans les autres, construites dans la tradition qui se perpétue, comme aussi leur parlé "en patois" et leur vêtement le "Schutz" qui est le costume féminin traditionnel de la vallée qui s'accompagne d'un manzon, 2 blouses et 3 foulards, 6 tabliers et 3 jaquettes noires.
1. Costume commune de Sion 2. de Sierre 3. d'Evolène 4. de Martigny 5. de St Luc
du site Fédération valaisanne des costumes
Vous arrivez sur une artère unique pavée qui traverse le village dans sa longueur, bordée de bâtisses dans le plus pur style anniviard, patrimoine suisse.
Photo du site >> "Photo de montagne et de nature" de Linux
Ce village garde les empreintes d'un passé fait de croyances populaires, de légendes de contrées avoisinantes avec ses catastrophes naturelles, ses mythes, ses destinées dramatiques qui rendent le spectacle de la rue au grand public.
Vous pourrez y admirer le vieux four dans la maison de la Bourgeoisie (1550) où les gens venaient cuire leurs pains, de vieilles fontaines. Bref rappel sur la Bourgeoisie, initialement elle contenait le four, mais également une cuisine. Elle servait à accueillir les gens de passage pour dormir. Elle fut construite pour les assemblées, les réunions, les rencontres. Elle remplissait également le rôle des administrations communales d'aujourd'hui. Dans son sous-sol, on peut admirer les vastes caves blanches qui abritent des vins de plus de cent ans d'âge dont le fameux vin du glacier. Les boiseries de la salle de réunions avec ses trois tables : celle des autorités, celle des serviteurs et celle des morts (terme qui désignait ceux qui ne servait plus à rien) sont à découvrir.
L'âme de Grimentz au charme d'antan bat également au rythme de ses troupeaux de vaches, race bovine d'Hérens, à la robe noire ou châtain. Combattive et belliqueuse, elles sont de parade pour l'élection de la reine où des combats sont menés.
photo du site
Photo du site >> "Photo de montagne et de nature" de Linux
Chaque année, il ne cesse de charrier son lot de touristes et plus particulièrement en ce jour où c'est la fête du village qui garde un côté un peu décalé.
Vous remarquerez que les maisons sont faites dans le bois de Mélèzes roussis par le soleil aux teintes inégales qui ravivent en été les balcons fleuris.
On tombe sous le charme des "raccards" qui sont des greniers (du latin graniarium) traditionnels qui peuvent être vus dans les Alpes suisses, italiennes et françaises. Ces constructions sont établies au-dessus de la terre et sont soutenues par les échasses en bois. Une galette en pierre circulaire, formant un surplomb, est intercalée entre les échasses et le grenier pour empêcher les rongeurs d'accéder aux réserves de grain et de fourrage.
Avec le recul de l'activité agricole, ils ont été réaménagé en habitation pour le bonheur des touristes qui veulent y séjournaient. Les portes sont souvent habillés de vieux chardons séchés au soleil.
Bon, pour les français qui aiment la table, c'est inconstestablement l'endroit où il faut se poser. Les restaurants proposent diverses spécialités dont la raclette, d'origine valaisanne, est reconnue depuis 2003. Elle est produite à base de lait cru, deux fois par jour, à la fromagerie. Les meules sont affinées au moins trois mois et portent l'appellation du nom de la vallée de production sur la croute.
RECETTE DE LA RACLETTE
Une fois la meule coupée en deux
la tranche est chauffée,
puis raclée.
Les gourmets préfèrent le bois à tout autre mode de chauffe...
La recette est décrite pour la première fois en 1875 par Eugène Rambert. Elle est simple.
et l'accompagne du fameux "vin des glaciers", spécialité confidentielle qui vous domptera. Elle conserve les secrets d'une tradition oenoligique millénaire dont les cépages sont perchés sur une colline dominant la Sierre. Les fûts sont en bois de mélèzes qui se caractérisent pour leur porosité qui provoque une certaine évaporation. Le liquide disparu laisse place à de l'air qui oxyde et le rend imbuvable. Pour palier à cet inconvénient, les Anniviards remplacent, ce qui s'est évaporé ou a été bu, par la récolte de l'année afin que le tonneau reste toujours plein. Ils sont conservés en altitude tout l'hiver. Alors que les habitants inalpent et redescendent dans la vallée pour passer l'hiver. Dès leur retour, ils partagent avec des privilégiés ce nectar séculaire dont le secret semble seulement avoir été conservé au Château de Ravire.
Autrefois, on les considérait comme des nomades saisonniers, appelés "coureurs de chemins" (lé vié) et devait contribuer à les entretenir une fois par an (anni) d'où leur surnom "annivié" (les anniviards).
Mais également pour se mettre en bouche lors de l'apéritif, vous pouvez appréciez la saveur au goût très fruité qu'est le vin dénommé "Fendant".
Pain de campagne orné de motifs suisses
Photo personnelle
Avec le vin, il y le pain, cuit dans l'ancien four communal, selon les méthodes ancestrales et au seigle (AOC du Valais et spécialité de Grimentz).
Et au dessert, rien ne vaut une belle tranche de pain et une barre de chocolat suisse.
Photo personnelle
Photo du site >> "Photo de montagne et de nature" de Linux
Photo du site
Nous y sommes allés l'été 2006 et nous avons été accueillis par la fanfare qui faisait écho dans toute la vallée profondément rurale qui était vers 1800 désertée et qui trouva un regain à partir des années 1824. Touristes, alpinistes s'isolent sur cette île de haute montagne.
Les premiers touristes vinrent d'Angleterre entre autres à la moitié du 20ème siècle.
photo du site
Si vous y allez à la bonne saison, vous pourrez admirer la transhumance avec ses vaches, de race d'Hérens, qui partent brouter dans les alpages d'Avion et de Torrent.
photo du site
Cette année, la montée des vaches de race d'Hérens à l'alpage de Moiry aura lieu le 17 juin 2007. On appelle cette transhumance "inalpe" et pour fêter cette période, il y a lieu de faire un combat entre elles afin d'établir leur hierarchie. On leur peint sur le flanc leur numéro d'ordre au combat. Chaque éleveur amène sa bête en fonction de sa catégorie de poids dans le groupe qui correspond. Il y en a cinq catégories dont les jeunes, les lourdes... qui vont se battrent dans des arênes de 30 mètres de diamètre dont les limites sont représentées par un câble épais. Derrière, souvent 12 000 spectateurs se réfugient.
On compte 13000 têtes de race d'Hérens dans la vallée.
Dès la fin de l'été, lors de la désalpe du 22 septembre, il y aura une reine du troupeau. Elle est décorée et prend la tête du troupeau pour descendre. Cette deuxième étape se fait cent jours après l'inalpe.
Petit retour, lors de la montée à l'alpage, les vaches se déplacent par période sur le 1er plateau et progressivement vont vers le plus haut, cette séquentielle s'appelle le "remuage". A la fin juillet, le curé de la paroisse célébre la messe sur l'alpe et tous les passionnés de la race d'Hérens viennent partager cette journée.
Les bergers s'abritent dans des "itres", petites cabanes de pierre.
Vous noterez qu'en 2003 "Pecora", vache de Grimentz qui appartient à Gérard Genoud (éleveur), obtint le titre de "Reine".
Caractéristiques
La vache de race d'Hérens vient du val d'Hérens. Elle mesure environ 1,20 m au garrot et pèse 550 kg. Ne vous effrayez pas, c'est l'une des plus petites d'Europe.
Physiquement à quoi elle ressemble ? Grand cou, front large et poitrine profonde. Ses membres sont courts, d'où le style trapu. Sa robe est unie et varie du noir au fauve (rouge brique). Elle est conçue donc par sa robustesse pour palier aux rigueurs de la montagne. Bonne marcheuse, elle peut gravir les 3000 mètres d'altitude. Réputée pour sa corpulence, elle est faite pour le combat. Son tempérament reste vif et belliqueux et la rend de ce fait incomparable pour les rituels de dominance exacerbée. Lors de la montée à l'alpage et sur cette période, rares sont les instants sans combats, elle se livre facilement à ce jeu.
On retrouve des traces de ses ancêtres 3000 ans avant Jésus-Christ. Dès 1859, des concours sont remarqués. En 1861, la vache d'Evolène prend le nom de race d'Hérens.
Une reine est nommée chaque année par le jury.
En hiver, les chalets scintillent sous la neige, dans les ruelles pentues il n'est pas rare de voir des concours de luges
Photo du site >> "Photo de montagne et de nature" de Linux
Accès
A 25 km de Serre
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Voici
L'acteur américain Bruce Willis a séjourné à Grimentz à l'hôtel "Alamarenda" chez Domique Briquet.
Faune
Des hardes de chamoix sont sur les flancs des deux moraines latérales.
Jeune chamoix
Ruminant, de la famille des chèvres vit entre 800 et 3000 mètres d'altitude. Plus petit que le bouquetin, même pour les cornes qui ne dépassent pas 17 cm de long. Elles sont de couleur noire et partent en oblique droite.
Sa robe est brûne aux reflets roussâtre clair avec une bande dorsale brun foncé s'assombrissant en hiver, mais également qui s'épaissit et le poil devient plus long. Sa tête est bicolore, dans l'ensemble blanche séparée du museau aux oreilles par une bande noire. Il porte une queue très courte.
La crête dorsale chez les mâles est appelée "barbe".
L'hiver, il profite de l'altitude et aime le couvert de la forêt. Il est herbivore.
Il vit en harde (troupe). Il est classé espèce protégé. Sa durée de vite est de 10 à 15 ans.
photo du site >> "Faune de Grimentz" photographie Claude Tacheron
Bouquetin
Animal de haute montagne, ses sabots sont parfaitement adaptés au rocher. On le voit souvent sur les arêtes rocheuses entre 2000 et 3500 mètres d'altitude.
L'hiver, il redescend pour éviter les nuisances de la neige. Il s'isole dans les replis de terrain sans couvert et la nuit profite des grottes pour se protéger. Il fait des bonds de 6 mètres et peut aller à 70 km/h sur terrain plat.
Les cornes pour le mâle sont incurvées. Elles peuvent mesurer entre 70 et 100 cm et atteindre un poids de 6 kg la paire. Il ne faut pas négliger que si elles sont longues, il peut se gratter le dos avec !
Celles des femelles sont plus modestes, 30 cm.
Sa robe varie du gris au beige et fonce surtout chez le mâle en hiver pour atteindre la couleur marron.
Le mâle est appelé "bouc". La femelle prend le nom de "étagne" et son petit prend le nom de "cabri".
Sa durée de vie est de vingt ans.
Photo du site >> "Photo de montagne et de nature" de Linux
Marmotte
Flore
Géranium
C'est l'emblème célèbre de Grimentz. Il est la note olfactive de la rue piétonne et fleurie du vieux village. Il en existe 34 variétés odorantes que vous pouvez ressentir leur essence envoûtante à Grimentz.
Il a été découvert il y a 250 ans en Afrique du Sud. Il se lie à la saveur grâce à ses nombreuses essences, telles que : citron, gingembre, orange ou encore "chocolate Peppermint". Mais si on revient à la première essence, et c'est pour cela que l'on le trouve à Grimentz, il ne faut pas oublier que la citronnelle éloigne les moustiques, d'où la particularité de le retrouver dans toutes les balconnières.
Mais il sert également à embaumer les chambres, au coucher quand vous tendez vos bras pour tirer les volets, le simple frôlement suffit à faire ressortir ses parfums de rose, d'orange, de menthe ou de citron.
Il touche également un autre sens : le visuel
Il est fêté lors de la fête patronnale le 16 août de chaque année par la remise des prix des balcons fleuris qui récompense le plus beau balcon fleuri de l'année à Grimentz.
La dernière touche est la saveur.
Ses feuilles sont comestibles, certaines espèces peuvent être utilisées comme plantes aromatiques et/ou décoratives dans certains plats ou mets. On retrouve des recettes ancestrales, comme la confiture aux géraniums. Séchées, les feuilles sont une partie indispensable dans les pots-pourris odorants.
Gentiane
Photo du site de >> "Faune & Flore de Grimentz"
photographie Claude Tacheron
Pistes de ski
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Le domaine de ski est ouvert de décembre à avril et s'étend jusqu'à 3 000 mètres.
Historique
Petit village de moins de 500 habitants qui portait le nom de Sadelo auparavant mais il fut détruit de son emplacement initial par un glissement de terrain. Il est orienté sud-est.
Il est mentionné à partir de 1100, sous la forme de Grimiens, devenu Grimenchy en 1245. Une chapelle dédiée à Sainte Théodule est également citée à cette période. Des pierres à cupules et des gravures rupestres laissent entrevoir un passé préhistorique. Au moyen-Age les nobles d'Anniviers et le chapitre de Sion possèdent des droits dans la région.
En 1259, il y a le rachat de la dîme épiscopale.
En 1269, celui des droits dans la région.
1318, communauté d'alpage est fondée.
Par la suite, Grimentz devient un quartier du Val d'Anniviers avec Vissoie, Luc et Ayer qui obtinrent le droit de nommer leur propre châtelain.
1500, la maison bourgeoisiale est édifiée.
Photo du site de l'Office du tourisme
Ceux sont les caves blanches de la maison Bourgeoisiale
1825, le lieu dépendait de la paroisse de Vissoie.
1828 à 1831, une chapelle fut édifiée sur l'emplacement du sanctuaire actuel, en même temps que la cure.
Chapelle du site -Photographe Nicolas-
Note : toit en tavillon, petit bardeau de bois qui sert à recouvrir les toits dans certaines régions.
1892, il y a un chemin muletier raide pour économiser les pas des agriculteurs condamnaient à un nomadisme permanent depuis le XIIIe sicèle, du à l'altitude et donc au climat du village. Ils passaient de la plaine à la montagne en amenant toute leur famille. On distingue quatre segmentation de lieux de vie : la plaine, les prairies, les mayens et les alpages.
Dans la plaine, on y trouve les vignes. L'habitation principale ou les caves. Les hommes travaillent dans les vignes, les femmes cultivent et sèment le jardin tout en nettoyant les près.
Dans les prairies, certaines villages qui constituaient les habitations principales car l'on y résidait plus longtemps que dans les autres endroits. On laboure et cultive le foin, les céréales, le chanvre et le lin et la pomme de terre. On ramasse la litière. L'habitation est l'étable ou l'écurie, grange.
Dans les mayens, on trouvait les conserveries de fromage, le grain, les viandes à sécher à l'air. On habitait dans les greniers. Les hommes allaient couper le bois et les femmes filaient la laine, faisaient la tomme et s'occupaient des bêtes.
Photo du site de l'Office du tourisme
Dans les alpages, on trouvait des itres où les bergers s'abritaient la nuit durant l'inalpe.
Le village ressemble plus à un noyau composé de constructions de petite taille.
Il n'a pas changé depuis cette époque.
1904, Grimentz devient une communauté indépendante.
1918, une communauté d'alpage est fondée.
1934, elle devient une paroisse indépendante.
1949 à 1951, l'église actuelle est construite.
1960, activité agricole, exploitation de gisements de cuivre et d'argent.
L'activité agricole employait un tiers de la population active.
1897, création de l'hôtel des Becs de Bosson.
1970, le tourisme afflue.
1990, création d'une agglomération autonome. La commune descend jusqu'au torrent du Marais. Les nouvelles constructions sont assez réduites et implantées en ordre dispersé pour garantir la silhouette du village. Il bénéficie de qualité paysagères exceptionnnelles.
Les transformations démographiques et économiques ont créé quelques changements mais se justaposent aux traditions paysannes pour combiner le tourisme et la société actuelle. Cela fait place a une économie qui pousse vers l'innovation artisanale.
Chaque détail compte !
Photo du site "Yann du bois"
Cette nouvelle structure entraîne la sédentarisation des Anniviards mais qui restent liés par le tissu relationnel qu'a entraîné leur nomadisme ancien.
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Les pierres à cupules sont des témoignages laissés par nos ancêtres, les Celtes qui célébraient leur culte en plein aire, sur d'énormes pierres dont les creux sculptés servaient à arrêter le sang des sacrifices pour le présenter à la divinité. Sacrifices qui pouvaient être animal ou d'êtres humains. On en retrouve à Grimentz comme un peu partout en Europe.
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Sports à pratiquer
Via Ferrata
Ski
Randonnée
Balades à ne pas manquer
Observatoire astronomique à St-Luc & Tignousa
Visite de Chandolin (1934 m), plus haut village habité du Valais, mais également un des lieux les plus ensoleillés d'Europe.
(n.b. : visite de nombreuses personnalités, telles que Churchill)
Balade à partir de Zinal pour voir une caverne de glace naturelle creusée par le torrent sous un glacier. Le spectacle change chaque année,mais l'incroyable transparence d'une pureté absolue aux nuances bleutées reste un spectacle incomparable.
Lac de Mosjesee avec le Cervin en fond
Très belle photo du site "Yann du bois"
Lac de Stellisee
Photo du site "Yann du bois"
Lac de Lona
photo du site Top Rando
Barrage de Moiry
photo du site Top Rando
La grotte aux fées
Photo du site "Yann du bois"
Les pyramides d'Euseigne
Photo du site "Yann du bois"
Festivité
1er week-end de juillet : Fête de la musique populaire
orchestres folkloriques de toute la Suisse.
16 août : Fête patronnale
mai : inalpe
septembre : désalpe
septembre :
week-end de choeurs d'hommes
(musique traditionnelle).
Accès
Par la route ou par train.
Ou dormir
Il y a un camping à Grimentz, des chambres d'hôtes, des raccards à louer, des hôtels... et pour la sieste des champs tout vert.
Refuge "Cabane de Moiry"
Photo du site "Top Rando"
Bibliographie
photos personnelles lors de notre voyage en août 2006,
Documentation de l'office du tourisme
Photos prises sur des sites formidables, (indication sous la photo)
vous avez le lien pour y passer un bon moment.
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Dernière mise à jour, le 27 août 2008